
Théo Fouchenneret, piano
Adrien La Marca, alto
15H00
Samedi 4 décembre 2021, 15h00
Expériences sonores inattendues avec ce duo qui nous raconte le romantisme de Berlioz, le ballet amoureux de Prokofiev, la sensualité d’un tango, l’âme de l’Europe centrale dans une chanson de Dvorak, mais aussi les mélodies de Canteloube et de Massenet, la nostalgie d’une Bohème… L’alto, cet instrument de la confession magistralement joué par Adrien La Marca, peut aussi suggérer l’orchestre et la danse. Il entoure de sa chaleur l’immense sonate Hammerklavier de Beethoven d’une force vitale, comme le reconnaît le pianiste Théo Fouchenneret.

Quatuor Hermès
17H00
Samedi 4 décembre 2021, 17h00
Au cœur du premier romantisme, le Quatuor La Jeune fille et la mort de Schubert s’apparente à un drame sans parole. Terrible confession d’un compositeur en quête de reconnaissance.
Avec Schumann, c’est bien davantage la passion qui se révèle dans un quatuor à la dimension orchestrale. Considéré comme l’une des grandes formations actuelles, le Quatuor Hermès relie ces deux univers sonores aux sentiments les plus contradictoires et qui pressentent les chefs-d’œuvre à venir, au crépuscule du 19e siècle.

La Dolce notte du piano
20H30
Samedi 4 décembre 2021, 20h30
3 concerts de 45 minutes – 5 artistes
La dolce notte du piano est une promesse. Celle de réunir des artistes aux fortes personnalités. Ils aiment séduire et surprendre, jouer des registres les plus variés : l’intériorité et la passion avec Geoffroy Couteau et Amaury Coeytaux, la confession et la virtuosité sous les doigts de Florian Noack, les ivresses américaines de Vanessa Wagner et Wilhem Latchoumia.
Ces artistes déjà invités par les plus grandes scènes et si représentatifs de l’esprit du label La Dolce Volta nous feront voyager du Romantisme au minimalisme américain.
La notte s’annonce peut-être plus envoûtante que dolce…

David Grimal, violon
Itamar Golan, piano
11H30
Dimanche 5 décembre 2021, 11h30
Il faut un sacré tempérament et posséder une virtuosité exceptionnelle pour traverser ainsi, un demi-siècle presque d’un romantisme à son apogée. Le programme interprété par David Grimal et Itamar Golan évoque, successivement, la musique tzigane et espagnole, mais aussi la douceur rêveuse d’un poème, l’esprit d’improvisation et la découverte de nouveaux mondes sonores. Ce sont des pages au sommet de l’écriture violonistique, au cœur de l’Europe la plus raffinée.

Olivier Latry, orgue
ORGUE MOBILE « GULLIVER » HENRI-FRANCK BEAUPÉRIN
16H00
Dimanche 5 décembre 2021, 16h00
Olivier Latry, l’un des grands organistes d’aujourd’hui, titulaire des orgues de Notre-Dame de Paris a imaginé ce programme de Bach à Widor en passant par Liszt : de l’orgue baroque, ce « jeu de l’esprit et de la sagesse », à la magnificence de l’orgue symphonique. Les mutations de l’orgue, l’évocation parfois de l’orchestre, la quête permanente de nouvelles sonorités se renouvellent sans cesse sous les doigts de l’interprète. Comment ne pas succomber à la grandeur et à la tendresse mêlées de ces pages flamboyantes ?

Dana Ciocarlie, Philippe Katerine,
Julie Depardieu, Astrig Siranossian
18H00
Dimanche 5 décembre 2021, 18h00
Rencontres, croisements, superpositions, et accords… les invités de Dana Ciocarlie délivrent à leur façon, les mêmes envies : la fantaisie, l’humour, la tendresse et la légèreté qui n’est pas antonyme de profondeur. Quand le verbe de Julie Depardieu et de Philippe Katerine croise des musiciens aussi disponibles et ouverts à toutes les expériences, cela provoque ces « Bubbles » enchantées. Une succession d’étonnements à goûter sans modération.